Les Couvertures

Première et Quatrième de couverture du livre

couvertures de Marre de celle là

Marre de Celle-Là était le titre tout tracé pour ce roman, c'est en fait un jeu de mots, et je l'avais déjà utilisé dans mon deuxième ouvrage littéraire, un recueil de poèmes intitulé "En Attendant la Patagonie" (https://en-attendant.ampprod.fr). Pensant raconter la suite de ce deuxième recueil, il m'a paru judicieux d'y refaire allusion, même si c'est un poème du nom de "puta vida" qui forme le véritable pont entre les deux ouvrages.

Le dessin qui figure sur la première de couverture fut esquissé très tôt, au balbutiement même de l'écriture. À cette époque, même si l'idée d'élaborer un livre était présente dans ma petite tête, ce ne devait pas être suffisamment ancré pour me persuader qu'il verrait le jour : ce dessin a donc été fait comme ça, sans réel préjugé.

Cependant, son intégration au sein de l'œuvre, et de surcroît comme enluminure de la couverture prouve bien que mes ébauches graphiques et mes strophes littéraires ne peuvent plus se disjoindre. L'avenir de cette esquisse était tout tracé : ce ne pouvait être que la première de couverture du roman.

Par la suite, une fois les mots accumulés, et ma petite tête dirigée dans une direction précise, je fis une allusion à ce dessin, au sein de l'acte 1, comme un clin d'œil, mais aussi pour renforcer sa position majeure : je ne pense pas, à ce jour, avoir dessiné l'Amour de manière aussi transcendante.

Pour la quatrième de couverture, après peut-être pas mal de réflexion, j'ai opté pour une strophe de mon poème "Ma nouvelle Amphétamine". Je la trouve sublime, démesurée, intense, totalement hors du contenu du livre, elle ne révèle rien, reste muette, silencieuse, et préserve ainsi au mystère désiré toute sa valeur.

J'avais, lors de sa rédaction, beaucoup aimé cette strophe, je ne me suis donc pas permis de chercher au sein du livre une phrase ou un paragraphe afin de couvrir la quatrième, le choix était fait, et bien fait.