Poèmes

Je présente ici les différents poèmes que j'ai pu rédiger en parallèle avec l'écriture du livre. Les vers en espagnol naquirent lors de la genèse de l'œuvre, à son tout début; alors que ceux en français ont vu le jour bien plus tard, une fois la réflexion sur le contenu du livre effectué. En effet, les poèmes en français figurent dans l'œuvre finale.

Poèmes en Espagnol

Marre de celle là - illustration

Les poèmes présentés ici sont ceux que j'ai pu rédiger en Espagnol, ils ne sont généralement le fruit d'aucune recherche linguistique; à l'époque (en 2003 lors de leurs rédactions), je maîtrisais trop peu la langue de Borges pour pouvoir pondre d'élogieux vers. Cependant, ils furent rédigés de façon brutale, furtive, violente...

D'autres poèmes furent rédigés, mais, les jugeant beaucoup trop personnels, je n'ai osé les publier dans ces pages.

À l'origine, je pensais terminer le livre par quelques poèmes en espagnol, en l'occurrence une brève sélection d'entre eux. Mais il en fut tout autre vu que la configuration finale de l'œuvre changea au court du temps: ces poèmes ne sont que des archives du passé.

Tous ces vers ont été le plus souvent rédigés en parallèle avec un dessin: mes deux mines ne pouvant se disjoindre dans de tels moments. Les dessins sont présents dans la rubrique qui leur est consacrée.

Ces poèmes sont présentés dans leur ordre chronologique, aucune correction ne fut effectuée; même si j'ai bien progressé en espagnol, je n'ai que très rarement écrit de vers en cette langue.

Poèmes en Français

Marre de celle là - illustration

Je présente aussi les poèmes que j'ai pu rédiger en langue française. Même si au moment de leur rédaction, je ne savais s'ils tiendraient une place au cœur de l'ouvrage, je me suis permis de les insérer au final; d'une part pour les montrer, mais surtout parce qu'ils y ont leur place et se combinent merveilleusement bien avec la trame du récit. Ces trois poèmes sont les suivants:

Ma Nouvelle Amphétamine: C'est le poème qui introduit l'ouvrage, le Prologue. Il est composé de 46 vers, tous des alexandrins, répartis en 10 strophes inégales. Les rimes sont identiques: en -MINE (tous les mots de la langue française se terminant par -mine sont utilisés vu qu'il en existe 45, seule "amphétamine" est usé à deux reprises) et le nombre de vers par strophes est comme suit: 5-1-5-1-5 pour la première partie, et 7-4-7-4-7 pour la seconde; se qui totalise bien 10 strophes regroupées en deux parties, 17 vers pour la première et 29 pour la seconde, soit 46 vers aux totales: et ce dernier chiffre a son importance. Ce type d'écriture (où je m'efforce de respecter une structure précise) ne me plait guère, car il laisse peu de place à l'improvisation impulsée, mais je désirai ce poème ainsi, et c'est ainsi que je l'ai écrit. Ce texte est la suite de "Mon Amphétamine" publiée dans mon second ouvrage (un recueil de poèmes), ce dernier surgit de ma mine de façon plus brutale d'où sa beauté supérieure, cependant, les amphétamines diffèrent...

Ma Nagasaki: Poème qui se veut être la suite de Mon Hiroshima présent dans mon deuxième ouvrage et qui conclura le livre, ce sera l'épilogue de l'histoire. Là aussi, comme pour l'opus 1, Hiroshima, dans sa subtilité, est hautement supérieure, mais qui peut oublier Hiroshima?

Je T'aime: ce texte est en fait une version française du poème espagnol "Te Amo". Maintenant, je ne me souviens plus qui vit cérébralement le jour en premier, je pense que c'est la version française, mais je n'oserais me précipiter. Dans tous les cas, l'écriture de ce poème est postérieure à sa version castillane et il termine le livre, révélant au lecteur un épithalame non signé.

Bonne lecture